
André Girard (à droite) examine l’une de ses peintures transparentes
Ainsi naquit un procédé tout à fait original qu’il nomma « peinture sur lumière ». Après une premiè maquette réalisée sur une bande de papier transparent qu’il faisait glisser sur une table lumineuse, André Girard peignit directement sur une pellivcule de 70m/m. Il se consacra alors à un travail de moine d’une extrême minutie, audacieux et inédit : une semaine de travail de dix heures par jour, pour une minute de film…
Il devint possible de projeter le film, avec textes et musique, sur des écrans même de très grande taille.

La vie de Jésus
Le besoin s’impose à lui d’élargir l’expression picturale au delà de la peinture dite de chevalet, donc statique. Il lui fallait trouver des moyens techniques permettant d’allier image, lumière et mouvement.